Destination Nowhere ?

Bon j'ai décidé de créer une deuxième histoire en alternance avec l'autre ^^ normalement je créerais un chapitre par semaine ce qui fera une alternance entre les 2 ^^ Voila, n'hésitez pas a répondre car sinon je me trouve bien seul --"

Chapitre 1 :

Mon arrivée ici, dans cet hôpital pour maladies rares, se fait sous la pluie et des averses qui me parait sans fin. Déjà qu'en temps normal j'ai un peu de mal à me déplacer mais là, j'ai peur de glisser a chaque pas que je faisais. A mon départ de l'orphelinat, il faisait très beau donc j'étais habillée assez légèrement mais avec 4h heures de voiture, le temps c'est inversé. Cette hôpital se décrit d'abord par une grande allée de fleurs qui se sont, maintenant, refermées sur elles et de quelques bancs, par-ci par-la pour se reposer. On voit aussi que ce très grand hôpital est accolé a un autre, celui des personnes atteintes mentalement par diverses maladies. J'avançe assez rapidement pour éviter la pluie, mais bon vu dans l'état ou je suis cela ne sert à rien. En entrant, je vis une infirmière qui me regarde de haut en bas, comme on regarde un mort puis elle passe son chemin. Je me dirige vers l'accueil ou une grosse, voir énorme infirmière me salut et nous commençons à parler. Elle a une voix ressemblant à une porte qui grince ce qui me donne une impression étrange. Je lui ai dit " Bonjour, je m'appelle Adeline Boudraux, vous m'avez appelé hier car vous avez eu une place pour moi, dans votre établissement ". Elle me répond avec un étonnement non dissimulé et me conduis tout de suite à ma chambre en portant ma petite valise.

Je tombe dans une chambre de grandeur moyenne qui est à la limite entre les 2 hôpitaux. Il y a un champ à perte de vue et au bout une petite plage ou on voit le bout de la rive opposée. Elle me laisse ranger mes affaires tranquillement et pendant ce temps là, la pluie a cessé de tomber et j'ai marchée un peu dehors et découvri les alentours, seul malgré le désaccord de mon nouveau médecin qui ressemble plus à un vieil acteur de série B qu'à un médecin normal. L'air dehors est reposant et sent le bon vivre mais tout d'un coup j'entend un grand " Attends, arrête de courir un peu ! " Un homme, dans la même tranche d'âge que moi, surgit devant moi et me pousse par terre. La femme me relève en me demande un nombre impressionnant de fois " Excusez-moi, excusez-moi ". Je lui réponds que c'est pas grave mais elle continu quand même a répéter cette phrase. Soudain, le garçon arrive devant moi et tourne autour de moi comme si c'est un jeu. Je le regarde d'un air étonné et la dame, qui après réflexion est surement une infirmière habillé normalement, a remarqué et me chuchote dans mon oreille qu'il est attardé mental et qu'il a toujours vécu ici. Je m'excuse auprès d'eux puis je continue ma ballade tranquillement jusqu'à ce que j'atteigne une petite ville avec un centre commercial. Mais je ne peux pas aller plus loin car la pénombre commençe à tomber et que le diner allé être servi.

arf>< j'te deteste t'est trop fort!
j'voulais po lire, ja lue la 1ere phrase et ja pas reussi a decoler jusqu'a la fin!!!

Un début trés intéressant dont j'attends vivement la suite ...

Chapitre 2 :

Le lendemain matin, il me reste un arrière gout de lentille de mon premier repas du lendemain soir au réfectoire. Le soleil inonde ma chambre dans une lueur limite insoutenable. L'infirmière me lève et mes pieds dérapent un peu par terre. Elle me mit sur une chaise qui n'est pas loin. Ensuite elle part car elle sait bien que je peux m'habiller et marcher toute seule et après cela je prend mon petit déjeuner. Tout le monde dans le réfectoire ressemble à des zombies qui revient d'outre tombes pour hanter cette pièce. Tout d'un coup quelqu'un me saute au cou et me crie dans les oreilles " On c'est vu hier tu t'en souviens ?! Dis ! Dis ! Tu t'en souviens !? " C'est le jeune homme d'hier accompagné par une autre femme. Il courre vers une table et me demande de venir manger avec lui. Je m'exécute gentillement et on parle tranquillement jusqu'à qu'un kiné vienne me voir pour me dire que ma séance va démarrer. Il ma fait des grands coucous à travers le réfectoire puis il me suit dans les couloirs et crie " Dis ! tu manges avec moi ctaprem ? " Je lui répond en hochant la tête et il part telle une fusée à travers la pièce avec la femme qui le poursuit d'un air gênée.

Mes journées se découpent en deux temps : le matin je fais ma rééducation puis l'après midi je passe mes examens médicaux, si j'en ai ou je ne fait rien. La séance de se matin là c'est surtout tourner autour des explications et du commencement de ma rééducation, qui débute en fin de matinée. Je suis sorti de cette salle toute lessivée, j'en ai pleins les jambes et les mains et j'ai du retourner au réfectoire encore plus lentement. Je vis le jeune homme m'attendre et ce fut à ce moment la que je compris une chose : je ne sais pas son nom. Il courre vers moi à travers le couloir et il me demanda si tout c'étais bien passé, si j'allais toujours bien et d'autre question comme ça. On se dirigea vers la terrasse où on mangea au soleil et dans une bonne humeur communicative. Il me demande si j'avais quelques chose à faire cette après-midi, je lui répondis que non et en entendant cela il voulait me faire visiter les alentours. Je lui répondis que je voudrais bien même si les alentours étaient surtout composés de champs. Il sauta de joie puis le repas se finissa bien. A la fin je lui demanda son nom et je le su enfin, il s'appelait Kevin.

Etre touché par ma maladie, qui s'appelle Ataxie de Friedrich, est en fait de s'emmurer petit à petit. Je vais perdre petit à petit le pouvoir d'utiliser mes bras et mes jambes puis de marcher. Je vais devoir rester affalée dans un lit, comme un objet au gré des saisons et du temps. A quoi bon pensez à ça ? Mes parents à la vu de tous ça mon placé dans un orphelinat et je ne les ai plus jamais revus depuis ce temps. Ma famille n'a jamais été très présente a par au téléphone pour me demander vaguement des nouvelles, comme on parle à une personne que l'on croise dans la rue que l'on ne veut pas voir. Pleurer ne servira à rien, elle ne fera rien changer et j'ai tellement pleurée au départ que je n'ai plus de larmes pour les dix ans qui arrive. Vivre dans le malheur ne me fais pas peur, puisque je le suis déjà.

Voila, par contre le prochain sera dans pas mal de temps ^^

L'histoire prend forme doucement, c'est bien ...ton écriture a muri par rapport à l'année derniére^^
Bon ne nous laisse pas trop longtemps dans l'intrigue non plus, pour la suite

C'est pas mal je trouve. Quelques répétitions rendant "lourd" certains passages mais on finit pas vite accrocher. En revanche, l'emploie continue du passé dans tes 2 récits les rendent moin "fluide" que si tu avais utilisé le présent. Mais bon, bien dans l'ensemble.Continue comme ça .

oui j'hésitais entre le présent et le passé àa cause d'une raison mais bon j'ai tout remis en présent ^^ merci la suite demain je pense ^^

Chapitre 3 ^^ :

L'après midi arrive vite et nous sommes donc partit comme prévu dans les alentours. On commence par visiter la petite ville qui se situe non loin des hôpitaux. Elle se compose majoritairement de maisons, de quelques appartements et de deux ou trois magasins qui la font vivre. Notre arrivée ce fait par la plus grande rue qui la coupée en deux. Pendant la visite , il me décrit brièvement ce qu'il y a encore derrière celle-ci puis nous sommes partis pour aller en direction de la mer, étendue bleue sous le ciel azur, bercée par les nuages et la douce brise. On revient donc sur nos pas et nous commençons par marcher dans ce champ quand tout à coup il se mit à courir comme un enfant. Il couru assez loin mais je ne peut pas le rattraper, piégé dans ce corps trop lourd à porter et qui refuse de courir. Il remarque que je peine à le rejoindre, il sprinte vers moi en soulevant ses bras croyant surement voler grâce au vent puis il s'arrête net. Il me sourit et fait tomber mes béquilles. Je titube donc sur ce sol peu stable à cause des averses des jours précédents. Mais il me prend sur son dos, ma tête derrière la sienne, et il se met à courir tout droit.

Je me sens, actuellement, la personne la plus épanouie qui pouvais exister. Je peut enfin recourir ,en quelque sorte, et sentir le vent qui s'engouffre dans mes cheveux et cette impression de légèreté me remplit d'une joie non descriptible. Il se met à rire et je le suit dans une espèce de folie qui nous englobe tout les deux. Arrivé près de la mer, il me dépose sur la rive de celle ci et je commence à sentir le va et viens continuelle de la mer sur mes pieds refroidis par le temps. Il me tends ces bras pour que je ne tombe pas et on resta bien comme ça quinze minute. Il me regarde dans les yeux puis me demande, avec son air enfantin " Pourquoi le ciel est bleu ? " Là je me retrouve bête devant cette question puis je le répondit " Pour que les nuages puissent dessiner et qu'on les admire ". Il me sourit et on regarde le ciel en même temps, en se souvenant de sa question. Vu qu'il est fatigué de m'avoir porté, on retourne tout les deux l'un à côté de l'autre, jusqu'aux béquilles, tout en discutant de nos vies. Lui non plus n'a pas eu une vie très joyeuse. Il est resté depuis au moins dix ans dans ce centre pour qu'on l'aide mais il se sent à l'étroit. Il ajoute quand même qu'il s'amuse beaucoup à jouer à chat avec ces camarades et à se baigner dans la mer en été. Ces parents viennent une ou deux fois par an pour quelques heures mais il veut plus les voir. Je lui affirme que ces parents ont peut-être un métier très prenant et qu'ils ne peuvent pas venir beaucoup le voir mais il me répond qu'il le lui manque un peu mais qu'il a beaucoup d'amis ici et que c'est un peu comme ça famille. Sur ces mots on retourne dans nos chambres qui se trouvent en fait juste en face de l'autre, il me sourit puis me dit à se soir.

Ce soir tout se passe comme prévu et je fit connaissance avec un ami de Kevin, Jérôme. Lui est atteint d'un handicap aux jambes à cause d'un accident de la route. Il a un peu le même caractère que Kevin mais il est plus effacé quand même. On a joué au cartes toute la soirée mais, mes mains commençait un peu à trembler et je faisais tomber mes cartes assez souvent. Mes jours sont compté dans ce corps qui se délabre au grès des envies du Seigneur pour mieux faire souffrir ces poupées. Je me suis beaucoup demandé pourquoi j'ai cette maladie, mais je ne trouve toujours pas la réponse. En disant au revoir à Jérôme puis à Kevin, j'essaye de trouver la réponse mais je ne la trouve toujours pas. Peut être que demain j'aurai la réponse ?

Laissez moi des avis ^^

C'est mieux ! Beaucoup moins de répétitions que précedemment et quelques améliorations de temps et de vocabulaires tout en gardant ton style. Quelques "photteus" d'orthographe mais bien dans l'ensemble . Continue comme ça ^^.
Après, je ne sais pas si les autres seront du même avis que moi mais tu connaîs le mien.

mouais je suis d'accord... disons que le 3eme chapitre est plus dans l'air du 1er, plus lege.
c'est dommage je trouve car tu as moins joue sur le suspens du 1er chapitre, recupere le stp^^!!!
en tout cas continue.

Le chapitre 3 est mieux, j'aime bien cette "petite sensibilité" à certains de tes passages , pour le temps essaies peut étre de jouer avec l'imparfait .. mais bon c'est pas simple , mais tu te débrouilles bien...
Y'a plus qu'à ...

Chapitre 4 :

Le lendemain étais Halloween, fête qui donne à tout le monde l'envie de manger des bonbons et sucreries à volonté. Le matin fut peu palpitant avec ma rééducation puis le midi on mangeaient tous les 3 : Kevin, Jérôme et moi à une petite table qui juxtaposait une fenêtre donnant sur l'entrée. Je commençais un peu à connaitre Jérôme, qui avait subi un accident de moto il y a 6 ans. Il se retrouvait paralysé des deux jambes et avec une maladie orpheline mais peu grave, enfin pour l'instant. Sa femme venait le voir toutes les semaines pour lui apporter divers cadeaux. Kevin qui voyait le calendrier de sa place c'étais mis à se redresser en chantant puis il commençait à crier " je veux faire Halloween ! Je veux faire Halloween ! ". Avec Jérôme on c'était lançait un regard vif puis on lui a dit qu'on verrait ça avec nos médecins pour savoir si il pourrait y aller puis nous pour l'accompagner. On mangeait donc dans la bonne humeur quand une infirmière est venu me voir et me chuchota, dans l'oreille, que mon médecin voulait me voir après manger, je lui fit un hochement de tête signifiant une affirmation puis elle partait dans le couloir.

A la fin du repas, je les ai laissaient demandés à leurs médecins si ils pouvaient sortir cette nuit et moi j'allais donc voir le mien qui, mis à part de ressembler à un acteur, me fait un peu peur. En marchant jusqu'à la salle je ressentie un trouble, un vertige qui rendait ma perception floue et je tombait par terre, à quatre patte . Plusieurs personnes ont réussis à me soulevez et m'accompagnaient au cabinet. Le médecin m'accueillait donc avec un regard stupéfait de voir autant de personnes. Il les remercia puis me fit asseoir. Il m'assommait ensuite avec ces paroles qui décrivait mon état. Tout d'un coup j'ai du recul, il me dit qu'il s'aggravait malgré le temps que j'avais passée ici. Il m'expliqua donc qu'il me faudrait me déplacer, maintenant, en fauteuil roulant. Je m'attendais à cette discussion un jour à l'autre, mais quand ça se passe cela fait comme si on perdait une partie de son humanité, de sa vie et que cela modifiera ,sans équivoque, mon futur. Il m'accompagna dans un espèce de débarras qui était à côté de son bureau puis m'en prêta un avec un grand sourire. Devant ce pas que je venais de faire vers la mort, je rassembla mon courage puis je lui demanda " Est-ce que, je peux sortir ce soir, avec 2 amis de l'hôpital pour faire Halloween ? " . Il me regarda, me jeta un regard assez sombre puis me répondis " oui " . Je partais donc, de son bureau, assis sur un fauteuil roulant et je croisais deux autres, revenant souriant de leurs visites. Kévin criait " On peux ! On peux ! " puis il courait vers moi à une grande vitesse. Jérôme restais surpris, loin de moi, regardant mon nouvelle état. Il avançait vers moi puis, quand il m'avais rattrapait, on continuait tous les deux, l'un à côté de l'autre. Il ne me cachait pas ça surprise puis nous proposa, lorsque Kévin était revenu, d'aller acheter des déguisements dans la petite ville à côté.

On allait donc acheter des déguisements, et comme à son habitudes, Kévin allait un peu partout alors que nous deux on restait sur le chemin. Jérôme, qui avait remarquais que Kévin étais assez loin, commença à parler d'un ton plus mature, plus adulte. Il me demanda si c'étais vraiment grave mon état. Je le regarda d'un regard vitreux, remplit de larmes qui ne pouvaient s'échapper de la forteresse de mes yeux. Il comprit aussitôt et tenta de me prendre dans ces bras et elles commençaient enfin de couler le long de mon visage emmitouflé dans un petite écharpe. Il me demanda ce que je n'avais pas et que j'aimerais avoir. Je lui répondis une famille aimante, qui ne me laisseras jamais tomber. Il me réponda que je les avais et que pour rien au monde, ils ne me laisserait tomber. Je le regardais, lui qui me paraissait comme une immense statue de pierre, intransigeante devant mes larmes et je le serrais encore plus fort. Il me montra Kévin ,qui avançais en courant, du doigt et me dit " Sèche tes larmes, il arrive ". En entendant ça, je pris un mouchoir et je m'exécuta. Il me regardait avec un sourire béa pendant 1 minute, environ, et me tendit un bouquet de marguerites qu'il venait de cueillir et me dit " Tiens un cadeau ! Pour que tu guérisse vite et que tu viennes courir avec moi ". En entendant cela, j'ai eu comme un recul par rapport à la situation, puis je le serra très fort contre moi et je le remercia beaucoup de fois. Je lui demandait ensuite, lorsque j'avais quitté la tristesse, pourquoi il m'avais fait cela, il cria " Parce que je t'aime voyons ! "

Laissez moi vos avis ^^

Bon j'ai enfin pu prendre le temps de le lire. J'ai remarqué que tu avais repris le temps du passé :c'est comme tu le sens mais dans certain passages, tu t'es trompés dans la conjugaison de certains verbes au passé (ex:<>)et puis fait attention aussi lorsque tu utilises ce temps de ne pas tomber sur des verbes que tu devras conjuger à la 2ème ou 3ème personne du pluriel. Peu de fautes dans l'ensemble.
Un texte où l'on ressent que les personnages sont heureux d'être entre eux tout en restant dans le dramatique.
Conclusion: on attend la suite!

J'arrive mieux à jongler avec le passé je trouve. Au présent, ça donne une histoire un peu plate. Après je n'ai jamais été une flèche en français donc des fautes ça ùm'étonnes pas pourtant je me corrige.

C'est ton style et ton histoire alors au niveau du temps, tu gères comme tu veux et c'est vrai que sa fait assez cru les textes au présent. Il faut juste que tu arrives suffisament à jongler avec l'imparfait et le passé et se sera parfait ^^.

Wouaouh !! quel sexy boy ce Jérome^^
Bon mise à part ces tites fautes que je m'attarderais pas... c'est comme le ski, plus tu en feras, plus tu progresseras.
Sinon c'est trés agréable à lire, continues , et moi je file préparer des mouchoirs je le sens ...

Chapitre 5 :

En entendant ces mots, mes yeux s'écarquillèrent et je le regardais fixement. Une ou deux minutes après, je me rapprocha de lui, je lui fit signe de se baisser et je lui fit un bisou sur la joue. Il rougissait, et surement pour cacher cela, il se mit un peu à l'écart tout en regardant et ramassant des choses à droite et à gauche. Jérôme est venu tout près de moi puis il m'a dit que j'y allais peut être était un peu fort mais que c'étais mignon. Je ne lui répondait pas et je continuais à avancer. Quand nous sommes arrivés devant le supermarché, mon cœur se mit à battre plus rapidement. Cela faisait 1 ou 2 ans que je n'avais plus mis les pieds dans un magasin, de peur du regards des autres. Je fuyais ces regards qui me jugeaient sans cesse, qui servaient à alimenter des ragots. Je leur fit signe de continuer, n'ayant pas la force d'assumer. Kévin me fit un grand sourire puis il rentra à l'intérieur et Jérôme me regarda avec un air mélancolique, plein de tristesse et rentra à son tour. En les attendant, je regardais les nuages et le soleil continuaient leurs courses incessantes jusqu'à ce que le temps s'assombrisse soudainement et que quelques gouttes, puis une averse tombaient. Ils sortirent du magasin, avançaient vers moi puis on prit ensemble la direction du centre.

On avançait vite vers le centre car la nuit avait commençait à apparaitre donc on arrivait assez vite et on se séparait pour se préparer avant le repas. En arrivant devant ma chambre, je remarquais que la porte étais entrouverte et je voyais l'ombre de deux personnes, debout, regardant à travers la fenêtre. Je rentrais d'un air peu rassurais et je les reconnais tout de suite : c'étais mes parents. Je rentrais dans ma chambre à reculons, quand ma mère me remarqua, elle sauta sur moi comme une lionne et me serras dans ses bras. Je l'ai très vite repoussé mais elle recommença et j'ai du la repousser assez violemment. Je salua mon père très brièvement en lui demandant de ces nouvelles, il me sourit et me répondit " pas plus mal qu'un autre jour ". Ma mère, pendant ce laps de temps, se remit debout et me demanda de mes nouvelles, je ne lui répondit pas. Elle insista et je lui ai répondu que je n'ai rien à lui dire et qu'elle devrait réfléchir avant de faire des choses. Elle fit une mine étonnée et je lui ai rafraichie la mémoire, de mon abandon comme un sale chien à l'orphelinat, des maltraitances pendant mon enfance et de mon père à qui elle est extorqué de l'argent tous les mois et qu'elle frappait quelques fois. Elle commença à s'énerver mais l'infirmière rentra ce qui la coupa et l'obligea de reprendre son sourire faux. J'ai du partir manger, j'embrassais mon père qui me serras plus fort que d'habitude, puis je sortis de la chambre. Soudainement, ma mère me posa une question " Est-ce que tu penses que je suis ta mère ? " Je me retourna, je lui sourit et lui dit qu'elle est et ne sera jamais ma mère . Je l'ai sentie attristée, des larmes coulèrent de son visage que mon père essaya de stopper mais je partis.

Je retrouvais assez facilement Kévin et Jérôme dans la cantine et on s'installait donc à une table. Je vit une femme, aux cheveux blond arrivée. Elle arriva et se présenta, c'étais la femme de Jérôme, Cynthia. Elle est venue pour nous accompagner se soir faire le tour des maisons. Kévin, candide comme il est, lui sauta littéralement au cou et la mitrailla de questions, qui ne la gênait pas. Pendant ce temps la, je vis mes parents, au fond de la cantine, partir. Mon père me souriait mais ma mère baissait la tête. Je me sentais attristée mais qui sème le vent, récolte la tempête. Après le repas, on allait tous se préparer dans nos chambres et Cynthia m'accompagnais pour m'aider à mettre mon costume. Les gars m'avaient acheté un costume de sorcière classique et Cynthia c'étais juste maquillée. Nous nous sommes tous rejoint devant et on a fait le tour de beaucoup de maisons et on récolta donc beaucoup de bonbons ce qui rendit Kévin content. Il courait dans tous les sens lors de notre retour assez tardif au centre, tout le monde était heureux et passé son temps à rire. Une voiture grise brisa cette situation de bien-être, ma mère descendit précipitamment. Sentant qu'elle instaurait un climat glaciale car je leurs avaient tous racontaient lors du repas, ils se mirent à l'écart et à faire un petit bouquet de fleurs qu'ils trouvaient ici et la. Ma mère après son arrivée, me fixa longuement et me posa la même question, je lui répondit exactement, cela la gela sur place et des larmes glissèrent sur son visages. Elle pris la direction de sa voiture, puis se mit à me dire " Tu sais quoi ? Je regrette tous ce que je vous ai fait et j'ai toujours étais très fière de toi. Lorsque j'ai appris ta maladie, je n'ai pu me résilier à te voir mourir à mes côtés sans rien faire pour toi ". Je fut étonnée de ces paroles, elle remit en doute ce que je pensé d'elle. Lorsqu'elle étais à côté de la voiture, elle finit par me dire " n'oublie jamais, ton père et moi on t'aimera éternellement. On s'en veut beaucoup de t'avoir laissé toute seul. Adieu ". Mon père sortit sa tête par la fenêtre et me sourit, il la rentra ensuite. Ma mère pendant ce temps la, sorti une allumette qu'elle gratta et la balança dans la voiture après son entrée dans celle-ci. La voiture est devenue rapidement une immense torche en plein milieu de la route. Je me suis effondrais par terre après avoir essayer d'arriver rapidement vers eux, Kevin m'a soutenu et Cynthia appela les pompiers.

Ce soir la, fut inoubliable pour moi. Sous la garance de la Lune, je quittais mon passé pour marchais vers mon futur qui va on ne sait ou. Maman je t'en veux et je t'en voudrais toujours pour ce que tu as fait. Papa je t'aime et j'espère que tu reposeras en paix pour l'éternité.

Laissez moi vos avis ^

(Désolé du temps que j'ai mis avant de commencer à lire la suite de t'a fic).
Au niveau des fautes, tu as utilisés le passé, je le dis souvent xd je sais mais le problème n'ait pas d'utiliser ce temps en lui même mais bien de pouvoir jongler sans problème entre l'imparfait et le passé simple. Chose que tu as du mal à faire dans certains passages, j'ai remarqué. Au niveau de l'orthographe c'est plutôt satisfaisant sinon . Tu as fais une petite erreur d'inversion "d'adjectif-nom" à un moment xd mais rien de grave. Sinon au niveau des descriptions tu t'es surpassés mais le problème c'est que tu en mets un peu trop. Ce qui parfois rend le récit un peu moin fluide et comme disent les profs de français :<>. Essaye de mettre un peu plus de ponctuations car il y a certains passage qui sont difficiles à comprendre. Quelques mots de language oral qui ne sont pas toujours mis où il faut(par exemple, il y en a lors des phrases du narrateur).

Bon après avoir commencé par les points négatifs, au niveau des points positifs maintenant :
Un récit qui ne laisse pas de glace avec t'a "petite signature personnel" qui rend tes récits assez émouvants ;comme je l'ai dis, tu fais de moin en moin de fautes . Une histoire qui reste stable(dans le sens qu'elle ne dévie pas,qu'elle reste fidèle au début). On sent aussi la ardeur que tu mets dont ton récit(ou la passion si tu préfères xd).
Sinon je pense que Pompey a trés bien résumé l'avis général des lecteurs sur t'a fic (dont moi xd):

Citation :

Allez, tu as plein d'imagination... continue.

.
Voilà, désolé si je suis un peu dur>< ,c'est vrai que c'est pas toujours facile de faire ça.Mais je trouve ça bien ce que tu fais ^^.

Chapitre 6 : Fin du premier Arc.

Je ne me souviens pas de mon retour au centre ce jour-là. Je me souviens juste d'une immense torche au milieu de la route, qui illumine telle un feu d'artifice continuel, le village et ses environs. Je me réveillais dans mon lit, la tête à Cynthia sur le bord de celui-ci. Elle se réveilla juste après moi, car elle sentait surement les draps bougeaient, sous son bras. Elle me demanda si ça allait, je lui répondit avec un petit sourire, que ça allait très bien. Elle me scruta du regard puis me sorti de mon lit pour m'aider à m'habiller. Quand on avait fini, on sorti de la chambre et alla dans le réfectoire ou Jérôme et Kévin nous attendait. Kévin semblait avoir une attitude habituelle, comme si rien ne s'était passé mais Jérôme avec un regard et des attitudes lourdes, était remplit d'une tristesse en mon égard. Le repas se passa comme à son habitude, dans la joie et la bonne humeur. Après celui-ci, Cynthia alla jouer avec Kévin dans sa chambre, et elle me laissa seule avec Jérôme. Il me regarda, et m'adressa enfin un mot. Il me dit qu'il s'était occupé de l'enterrement et du notaire. Je lui lança un regard vide, car il me jeta ces paroles à la figure subitement. Mais cela me faisait plaisir, car je n'avais pas , et je n'aurait jamais eu la force de m'occuper de ça. Je lui adressa un merci avec un grand sourire.

Quelques jours passèrent jusqu'au jour fatidique, celui que je redoutais tellement. On avait pas demandé de messe car mes parents c'était battu pour ne jamais aller à l'Église, même pour d'heureuses circonstances. Je voyais mal imposé ça à mon père, si doux. On arriva donc directement au cimetière, et on cherchait, Jérôme, Cynthia, Kévin et moi leur tombe. On la retrouvât assez difficilement car elle se trouvait tout au bout du cimetière, face à la mer et au soleil qui à ce moment de la journée rayonnait très sauvagement. Jérôme leur avait pris une jolie tombe. On posa tous chacun un bouquet de fleur. Je les poussa tous du côté de mon père, je voulais que ma mère n'ait rien, vu le mal qu'elle m'avait fait. On resta immobile, face à ce funèbre monument. J'avais le baume au cœur, me souvenant de tous les souvenirs que j'avais pu avoir avec mon père. Ma première dent qui tombait, mes premiers pas, mes premiers mots. Plus je me souvenais, plus des larmes glissaient sur mon visage et tombait par terre. On repartit peu de temps après, on alla donc chez le notaire, qui était un véritable monsieur pète sec. Il nous parlait avec des termes juridiques ce qui faisait régner dans la salle une ambiance d'incompréhension générale. Voyant cela, il nous parlait ensuite plus simplement. Il me dit que mes parents avait que peu d'argent de côté. Il m'avait juste laissée une lettre chez eux que le notaire avait pris, qui était écrite par ma mère. Je ne voulait pas la lire, mais Kévin me forçait la main. Je l'ouvrit et quand j'avais lu la totalité de cette lettre je partit et courra à travers la ville pour aller au cimetière. Je voyais au loin les 3 autres essayant de me poursuivre mais abandonnèrent assez rapidement.

Arrivée devant cette tombe, je me mis à pleurer. Mes parents avaient tout les deux un cancer en phase terminal, où la seul issu était la mort, et ils voulaient se rapprocher de moi. Je me mis à m'excuser auprès de mes parents me mettant à genoux. Je me releva, mais mes larmes continuaient de couler. Je regardais alors cette tombe et je lui dit "Non, excuse moi ". A la fin de cette lettre, ma mère me demandait de revenir habitait à la maison avec eux. Je ne pouvais pas faire ça. J'entendit le bruit portail s'ouvrir, je me doutait qu'ils m'avaient rattrapés, donc je m'arrêta de parler un petit instant. Je repris alors mon explication en commençant par m'excuser encore une fois mais que je ne
pouvais pas me séparer d'eux. Ils m'ont appris à sourire, à rêver, à vivre et à aimer. Ils m'ont appris tant de choses que je leur suis redevable. Je sentit Kévin courir vers moi avec ça candeur habituelle. Je me retourna, l'attrapa par le bras. Je le serra très fort contre moi et je lui ai dit " je t'aime aussi ".

Voila laissez moi des commentaires ^^

Oups ! Je n'ai méme pas fait attention que tu avais mis des suites ...
Je suis en retard de 2 chapitres ... Bon je vais tenter de trouver un moment pour les lire, je note ^^ ( nouvelle résolution pour la nouvelle année ... )

pas grave fiesta Je mettrais la suite dans 1 semaine, si ça interesse quelqu'un ^^